Revue de presse





 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Emission de radio "Les jardins culturels" - RCF DOLE - enregistrée le lundi 22 avril sur le thème "Le sport et la culture"...

En cliquant sur le lien :

http://www.rcf.fr/radio/rcf39/emission/431973/569046

vous pourrez prendre connaissance du contenu de l'émission à laquelle j'ai été convié pour parler du lien entre "sport & culture" ; l'un dans l'autre, par l'autre, pour l'autre...
C'était lundi 22 avril à DOLE, pour la radio... RCF (Oh ! ça va, hein ! Lol...) ; Yves Bailly qui m'avait déjà invité pour présenter l'association et interpréter en direct quelques morceaux a réitéré en faisant appel aux compétences de mon ancien métier.
Ce fut un régal...



 

ER : concert Brassens "Panoramique de l'oeuvre" à Gellin (25) le 23 mars

 

 

Interview réalisée par téléphone à l'occasion de la soirée"lutte contre les violences dans le sport"

organisée le 21 mars au palais des sports de Besançon par la direction des sports de la Ville et la DDCSPP25

Où est passé le fair-play et l'esprit d'équipe ?...

"Le sport, ce n'est pas le monde des Bisounours" par Sarah George (dijOnscOpe, mer. 20 mars 13, 17:49)

Insultes, brimades, menaces, pression, harcèlement sexuel et parfois même viol : on est loin de l’image et des valeurs rattachées au sport. Pourtant, il s’agit de pratiques fréquentes dans le milieu sportif, toutes disciplines confondues. Et ce ne sont pas les exemples qui manquent... On se souvient des insultes du défenseur italien Materazzi lors de la coupe du monde de football en 2006 et le geste regrettable de Zidane qui lui a valu son exclusion. Plus récemment encore, les incidents autour du derby Bastia-Ajaccio qui ont entraîné des bagarres générales sur le terrain par les footballeurs eux-mêmes, et en dehors par les supporters, ont soulevé l’opinion (lire ici Sport24.fr). 

Et si le football est souvent concerné, il n’est pas le seul. En atteste la récente actualité autour de l'ancienne tenniswoman n°1 mondiale, Jennifer Capriati, qui est accusée d’avoir porté des coups à son ancien compagnon, en février 2013 dans un club de sport de Floride (lire ici Eurosport.fr). Alors, où sont donc passés le respect de soi et de l'adversaire, la solidarité, l’esprit d'équipe, le goût de l'effort ? 

S’il existe plusieurs formes de violence, la majorité d’entre elles auraient lieu entre sportifs. Viendraient ensuite les violences exercées par les encadrants. Les auteurs seraient aussi principalement des hommes et les violences sexuelles seraient loin d’être anecdotiques. Une soirée débat autour de ces phénomènes est organisée à Besançon (25), jeudi 21 mars 2013, à 20h, au Palais des sports. Une autre pourrait être organisée prochainement à Dijon (21) avec l’Office municipal du sport (OMS). 

Rencontre avec Guy Vigouroux, ancien référent régional à la Direction de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale (DRJSCS) de Franche-Comté, qui animera cette soirée et qui préside l’association "Sauf le respect que je vous dois...".

Guy Vigouroux, bonjour.
Quels types de violences trouve t-on dans le sport ?

"Elles peuvent être de tous ordres : verbales, physiques, morales, psychologiques, sexuelles... Il faut considérer la violence comme tout acte portant atteinte à l’intégrité de quelqu’un ou de soi-même. Les violences sous forme d’emprise sont très répandues dans le sport. Des enquêtes ont montré qu’elles s’exerçaient souvent entre les sportifs eux-mêmes, ce que nous appelons les violences "horizontales" ; par opposition aux violences "verticales" qui sont exercées par les encadrants sur les sportifs.

Il a aussi été constaté que les violences étaient plus fréquentes envers les femmes. La part très réduite consacrée dans les médias aux sports féminins le prouve d’ailleurs. Même si cela a tendance à s’améliorer. Cela peut être perçu comme une forme de violence. Le problème reste les conséquences engendrées par ces violences. La souffrance ressentie par les victimes et surtout les jeunes, qui représentent aujourd'hui 25% des suicides annuels dans la société.

Cela ne semble pas spécifique au sport... Comment l’explique t-on ? Sommes-nous dans une société de l’agressivité ?

Le sport est une facette de la société et il ne faut pas l’en extraire. L’agressivité s’exerce en effet dans tous les domaines et pas uniquement dans ce milieu. Par ailleurs, le sport, ce n’est pas non plus le monde des Bisounours. Tous les phénomènes de société s’y retrouvent et y sont amplifiés parfois selon les circonstances. Il faut savoir que la violence s’appuie sur des pulsions primaires humaines. D'une façon générale, on constate un manquement aux règles de respect dans la société. Est-ce dû au repli identitaire à la société de consommation, je ne sais pas ? Cela joue sûrement.

L’agressivité vis-à-vis des différences, c’est en tout cas un dénominateur commun. C’est ainsi que l'on retrouve des faits de violence par rapport au handicap, à l’homophobie, au racisme... J’aime cette citation de Brassens dans la chanson Don Juan qui dit : "Gloire à qui n’ayant pas d’idéal sacro-saint se borne à ne pas emmerder son voisin !" Car le message à faire passer, c’est celui-là : essayer de moins emmerder le monde possible. Le respect est pour moi un carburant social !

Y a t-il plus de violence dans le sport qu'auparavant ?

Je ne pense pas qu'il y en ait plus qu'avant. Si on prend l’exemple du football, cela a toujours existé. Huer les sportifs dans un stade comme on le voit régulièrement aujourd'hui, cela se faisait déjà mais cela se voyait moins. C’est juste davantage relayé maintenant avec les réseaux sociaux et Internet. Dans le cadre de mes précédentes fonctions (ndlr : Guy Vigouroux est à la retraite), j’ai eu à travailler avec le directeur de la sécurité du Paris Saint Germain (PSG) et celui de Sochaux (FCSM). Beaucoup de choses sont faîtes pour renforcer la sécurité. Il y a un travail autour de la sensibilisation et pour abaisser les probabilités d’agression, mais cela reste difficile.

De nombreux supporters, une fois dans les gradins, se croient dans une zone de non-droit et laissent place à toutes sortes d’interventions déplacées. C’est dommage, cela montre qu’il y a une carence d’éducation, le mieux est d’intervenir avant !

En Franche-Comté, un atelier fair-play est organisé lors du traditionnel tournoi de football interlycées soutenu par la Région. Une année, j’y avais un stand et j’interpellais les jeunes en leur disant : "Qui parmi vous aime être pris pour un con ?" Cela les faisait réagir, c’est à eux de choisir l’attitude qu’ils veulent adopter sur un terrain et en dehors. Dans les sports collectifs comme le football, on est souvent aussi sur des problèmes de contestation d’arbitrage, or cela n’amène à rien.

Ce sujet est encore peu abordé en France. Sommes-nous à la traîne ?

Lors de ces soirées débats, je pars de l’expérience que les gens veulent bien partager. Il est vrai que, souvent, la maltraitance et la violence ne sont pas toujours décelées. De l’extérieur mais aussi de l’intérieur, du point de vue des encadrants. C’est un sujet qui reste tabou. Dans les formations des entraîneurs, la question de la violence est totalement occultée. Je me rappelle de l’une de mes interventions auprès de diplômées d’état en gymnastique à Paris : la plupart étaient surprises et se demandaient pourquoi elles n’avaient jamais été formées à cela.

C’est finalement suite à la publication en 2007 du livre d’Isabelle de Mongeot, une joueuse de tennis française qui a été violée, que les choses ont commencé à bouger (lire ici LeFigaro.fr). Le public féminin est soumis à une importante violence d’une façon générale. Pour preuve : les propos de Pierre de Coubertin que l’on encense et qui a pourtant dit des conneries. Il voulait qu’un champion sportif soit avant tout un homme et ne concevait pas que les femmes puissent faire du sport ou de la compétition.

Si on savait qu’il se passait des choses, rien n’avait été institutionnalisé jusqu’alors. Le ministère des Sports a finalement créé un pôle ressource Sport, éducation, mixités, citoyenneté (SEMC) basé au Creps, à Aix-en-Provence et des référents ont été installés dans chaque région en 2008-2009.

Quelle est la part des agressions sexuelles dans le sport ?

À ma connaissance, il n’existe pas de données ou d’études spécifiques en Bourgogne et en Franche-Comté. Les filles sont généralement plus atteintes que les garçons. Au cours de l’une de mes interventions, j’avais fait venir Greg Decamps qui est maître de conférences en psychologie de la santé et du sport à l’Université de Bordeaux.

Il a réalisé une enquête sur le sujet, en 2009 je crois. Il a recensé 18% de cas de maltraitance à caractère sexuel (ndlr : l’enquête portait sur un échantillon de 1.407 sportifs issus de 44 disciplines individuelles ou collectives, âgées de 11 à 35 ans, dont 60% de garçons et 40% de filles). Parmi les victimes, 57% disent avoir subi exhibitionnisme et/ou voyeurisme et 34% ont subi des harcèlements.

Le problème étant qu'aucune spécialité sportive ne prend le pas sur l’autre dans les violences sexuelles. On pourrait pourtant le croire a priori dans des milieux comme la natation où le rapport à la nudité est plus facile, mais non ! Attention toutefois, il ne s’agit pas de faire de la morale, nous cherchons surtout à faire l’analyse de la réalité et à trouver des solutions de comportements".

 

 

ER du 13 mars 2013 : Spectacle "Ah ! les femmes" à Colombier le 15 mars

       

 

ER du 12 mars 2013 : Spectacle "Ah ! les femmes" à Pontarlier (dimanche 17 mars à 16h30 au Théâtre du Lavoir)

 

ER  et Le Pays du 6 mars 2013 : Spectacle "Ah ! les Femmes" à Voujeaucourt

         
ATTENTION

Si vous lisez l'article suivant, prenez garde ! Il comporte deux énormes erreurs qui m'ont, je l'avoue volontiers, fait sourire en imaginant la tête des personnes concernées qui pourraient en prendre connaissance :

  • je n'ai jamais "présidé aux destinées de la direction régionale "Jeunesse & Sports" de la région" pour la bonne raison que j'ai toujours refusé de tenter de "passer inspecteur" ; que la directrice de cette respectable structure de l'Etat ne se sente pas offensée... Cadre "A" de la Fonction publique d'Etat, j'ai exercé pendant 41 ans mes différentes - et nombreuses ! - missions avec une énergie et un dévouement sans faille (médaillé d'or J&S, tout de même ! lol) mais je n'ai jamais été chef de service...
  • je suis encore moins le "fondateur de l'association bisontine "Les Amandiers" - qui se nomme, en réalité, "L'Amandier... J'ai, certes, été, dès août 2007, l'un des premiers pionniers, dans le sillage de Philippe Borie, l'authentique fondateur, qui a su créer une roborative spirale ascendante pour me mettre le pied à l'étrier - ce dont je lui saurai éternellement gré -, mais pour de multiples raisons, j'ai dû quitter cette association début décembre 2011.
    Je rends donc à César etc.

  

 

ER du 5 mars 2013 : Spectacle "Ah ! les Femmes" le 8 mars à Velotte

 

 

La presse de Gray : Concert Brassens "Panoramique de l'oeuvre" le 2 mars à Chargey-les-Gray

                       

 

 ER : Spectacle "Ah ! Les femmes" le 16 février 2013 à Chay

 

 

 

 Le Bien Public : Intervention sur le respect le 7 février 2013 à Châtillon sur Seine

 

 ER du 17 janvier 2013 : Concert "Brassens et ces (ses) dames à Vesoul

 

 

 ER du 24 novembre 2012 : Spectacle "Ah ! Les femmes" à Myon                   

              

 

 

 ER du 16 novembre 2012 : Intervention sur le respect à Devecey (Familles rurales)

 

 

ER du 17 et 19 novembre 2012 : Brassens et ces (ses) dames à Pontarlier

                       

 

ER du novembre 2012 : annonce du concert "Brassens et ces (ses) dames" à Palente

 

 

 ER  du 16 octobre 2012 : Après le concert "Ah ! Les femmes" à Thise

 

 

ER du 12 mai 2012 : Annonce concert Brassens à Colombe les Vesoul

 

 

ER du 22 mars 2012


ER du 1er octobre 2011 : présentation de l'association 

 

 

ER du 12 mai 2011 Intervention sur le fair-play aux tournoi des lycéens à Sochaux

 

 


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